LES BALS POPULAIRES |
ET MOURIR DE PLAISIR
1970 (Vline Buggy, Michel Sardou, Jacques Revaux) par Gérard Berliner ![]() Après des années à chercher le succès chez Barclay, Michel Sardou signe chez Trema. Peu après ce changement, il obtient non pas un, mais deux triomphes sur un même 45 tours : "Et mourir de plaisir"/"Les bals populaires" tous deux ont été réalisés grâce à Vline Buggy. |
J’HABITE EN FRANCE |
LA MALADIE D’AMOUR
1973 (Yves Dessca, Michel Sardou, Jacques Revaux) Par Michèle Torr ![]() Avec "La maladie d’amour", Michel Sardou franchit un cap dans la célébrité. La chanson séduit la France durant tout l’été 1973, et reste 14 semaines en tête de tous les hit-parades, soit plus de trois mois. Pour la mélodie, Jacques Revaux s’est inspiré d’un thème classique, le Canon de Pachelbel, déjà utilisé par le groupe Procol Harum pour "Rain an Tears". |
LES VILLES DE SOLITUDE |
LES VIEUX MARIES
1978 (Pierre Delanoê, Michel Sardou, Jacques Revaux) par Richard Anthony ![]() Les faits divers que l’on peut lire chaque dans le journal sont une source d’inspiration pour Michel Sardou. De l’école (« Le bac G ») à l’abandon du "France", il jette un regard très personnel sur l’actualité en général et la vie quotidienne. |
LE FRANCE |
JE VAIS T’AIMER
1978 (Gilles Thibaut, Jacques Revaux, Michel Sardou) par Dave ![]() Après avoir écrit "Que je t’aime" pour Johnny Hallyday en 1969, Gilles Thibaut récidive neuf ans plus tard pour Michel Sardou qui obtient avec cette chanson le tube de l’été 1978. |
EN CHANTANT |
LA JAVA DE BROADWAY
1978 Pierre Delanoê, Michel Sardou, Jacques Revaux) par Stone et Charden ![]() Parallèlement à un répertoire plus sérieux, Michel Sardou et son complice Pierre Delanoë savent également travailler ensemble dans un registre plus léger. Les deux auteurs s’amusent à décrire New York comme s’il s’agissait d’un faubourg parisien. |
LES LACS DU CONNEMARA |
CHANTEUR DE JAZZ
1983 (Jean-Loup Dabadie, Michel Sardou, Jean-Pierre Bourtayre, Jacques Revaux) par Murray Head ![]() Même s’il prétend être imperméable aux styles des autres, Michel Sardou ne se prive pas de certains apports extérieurs. Le compositeur Jean-Pierre Bourtayre, avec lequel il commence à travailler en 1983, n’y est pas pour rien. |